Catgorie : La Lutte Nazairienne

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Créé le : 21/12/2006 15:10
Modifié : 25/10/2007 22:43

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[ Sortir ? ] [ Histoire d'un collectif ] [ Et les jeunes alors? ] [ La Lutte Nazairienne ]

Déclaration de la CGT au sujet des présidentielles

27/04/2007 13:12



Affirmer le choix du progrès social



Le premier tour de l’élection présidentielle du 22 avril 2007 est d’abord marqué par une forte augmentation de la participation des électeurs, inscrits plus nombreux sur les listes électorales.

Dans un contexte d’insatisfaction sociale très large, qui s’est manifestée par de nombreuses mobilisations syndicales, ce vote révèle une aspiration grandissante des salariés, des chômeurs et des retraités à intervenir sur les choix qui conditionnent l’avenir de chacune et de chacun, l’avenir de la société française.

Cette vitalité démocratique est porteuse d’espoir. La CGT y a contribué.

Le recul, en pourcentage et en nombre de voix, de Jean-Marie LE PEN est positif. Cependant, la CGT est préoccupée par la reprise et la banalisation de ses thèses dans d’autres discours politiques.

Le climat social qui prévaut dans cette campagne électorale n’est pas une surprise. La CGT n’a cessé, ces dernières années, d’agir contre les mesures gouvernementales précarisant l’emploi (CPE, CNE…), creusant les inégalités sociales, portant atteinte au pouvoir d’achat et affectant les libertés démocratiques.

Après le premier tour des élections présidentielles, le sens et les contenus des politiques qui seront mises en œuvre demeurent incertains.

A cette étape, la CGT alerte à nouveau les salariés sur le risque qu’à l’issue des élections, s’installe un gouvernement totalement acquis à une vision ultralibérale de la société et de l’économie dont les salariés et leurs libertés seraient les victimes. Les positions et les ambitions du MEDEF s’en trouveraient grandement renforcées.

Il y a danger que des attaques de grande ampleur soient menées contre le syndicalisme en tant que moyen d’intervention et de défense des salariés. Ce n’est pas de mise en concurrence ni de plus d’individualisme dont a besoin la société, mais de plus de solidarité et de plus de justice sociale.

En tant que syndicat agissant pour la conquête du progrès social en France, en Europe et partout dans le monde, dans une démarche indépendante vis-à-vis des gouvernements, des partis politiques et des directions d’entreprises, la CGT est résolument opposée à toute restriction des libertés syndicales et du droit constitutionnel de grève.

A l’évidence, une large majorité de citoyens aspire à de profonds changements dans l’orientation de la politique économique et sociale du pays.

Dans les domaines de l’emploi, du pouvoir d’achat, des conditions de travail, des droits à la retraite comme pour l’accès aux droits fondamentaux en matière de santé, de logement, de transport, d’énergie, d’éducation, de culture… des réformes visant le plein emploi, le progrès social et la démocratie sociale sont nécessaires et possibles.

Les candidats encore en lice doivent répondre à ces exigences. Les citoyens peuvent peser dans ce débat.

La CGT appelle les salariés :

  • à se saisir du 1er Mai et à se mobiliser très nombreux pour en faire une grande journée d’expression des revendications sociales ;

  • à gagner l’unité syndicale la plus large et à  assurer le succès des 218 rassemblements et manifestations organisés dans tous les départements ;

  • à participer massivement au second tour des présidentielles.





Montreuil, le 24 avril 2007




Manifestation du 8 février

09/02/2007 15:52

Manifestation du 8 février


D'après le Ouest France du 9 février :

Les fonctionnaires contre la braderie du public

Quelque 800 salariés du public ont manifesté hier, à Saint-Nazaire. Au chapitre de leurs revendications, les salaires, mais surtout la défense des services.

Le mot d'ordre des syndicats de la fonction publique a été correctement suivi, hier, à Saint-Nazaire. Ce 8 février ne restera pourtant pas dans les annales des manifestations de la cité, même si plusieurs secteurs d'activité ont participé dans leur majorité. Le cortège évalué à 800 personnes était, par exemple, composé pour près d'un tiers de personnels de l'Éducation nationale.« On parle beaucoup des revendications salariales, mais ce n'est pas pour ça que je suis là », témoigne Anne, une enseignante. « Je suis venue surtout par solidarité pour ceux dont les emplois sont menacés. » Les enseignants ont donc des craintes et pas seulement pour leur pouvoir d'achat, « qui a connu une baisse de 20 % en 25 ans », selon la FSU.Les ministères sont montrés du doigt pour leur politique de réduction des emplois et des recrutements. « Au lycée Aristide-Briand, sept postes supprimés à la rentrée 2007, donc cinq correspondant à des départs à la retraite. » Le FSU évoque aussi un décret tout juste paru, qui modifie le statut des professeurs. « Les tâches supplémentaires ne seront plus rétribuées, ce qui signifie 7 % de perte de salaire. »La CFDT dénonce une perte de pouvoir d'achat de 6 % en huit ans pour l'ensemble des fonctionnaires, « concernés désormais par une nouvelle pauvreté. Davantage de précarité, de temps partiel, voilà les ferments de l'exclusion sociale... » Les exemples sont cités volontiers par les agents hospitaliers qui ont vu arriver des contrats aidés. « Destinés à favoriser le retour à l'emploi, ils sont utilisés le plus souvent comme des salariés alors qu'ils sont là pour être formés. »Pour Sud-Solidaires, « la grande braderie des services publics a commencé depuis longtemps, ce qui n'empêche pas de devoir réagir ». Les revendications fusent suivies d'applaudissements : « Revalorisation des salaires de 7 %, salaire minimum à 1 500 €, plan pour titulariser les précaires... »La CGT ne se résigne pas à la perte « de 80 000 à 100 000 postes entre 2003 et 2007 » au plan national. Elle clame l'existence d'une étude soulignant que la précarité est plus importante et plus durable dans le secteur public. Exemple avec les territoriaux qui accueillent 30 % de non-titulaires. La CGT demande donc « des budgets, des créations de postes, un observatoire des conditions de travail, la refonte des grilles de salaires... »Frédéric SALLE.
Ouest-France





...Et maintenant...

13/01/2007 18:36

...Et maintenant...


Maintenant, c'est là! (Il suffit juste de situer le rond violet...)
Quai Demange, juste à côté du Vip...
Photos à venir!




Les anciens locaux

13/01/2007 15:19

Les anciens locaux


Voila où tout à commencé.
Place Salvator Allende, la Maison du Peuple, 2ème étage.
Un ascenseur décoré, on y est.
Si vous ne le saviez pas, la maison du peuple est en train d'être détruite...
La maison des associations se trouve aujourd'hui rue Albert De Mun...
Et la maison des syndicats se trouvera, une fois que tout sera fini, au coeur d'une zone commerciale.
Chouette programme, non?




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